2021 est désormais derrière nous !

Le contexte sanitaire reste difficile, mais nous ne doutons pas que les efforts fournis par toutes et tous, mènent très prochainement vers une sortie de cette pandémie mondiale.

Le contexte climatique et les changements globaux sont eux aussi très préoccupants.

En cette période de vœux, le constat peut paraître pessimiste, mais il ne tient qu’à chacun et chacune d’entre nous d’inverser les tendances, de remettre ensemble ce monde sur de bons rails et d’être optimiste pour l’avenir. Car c’est bien en œuvrant de manière collective, avec discernement, partage et respect que l’humain peut changer les choses, voire de paradigme, même quand cela paraît insurmontable.

La Réserve naturelle et plus largement les espaces naturels protégés représentent aujourd’hui et plus que jamais, des territoires incontournables et fondamentaux pour amorcer ce changement. C’est en effet sur ces espaces que l’on peut initier et/ou développer des pratiques en adéquation avec l’écologie, faciliter le « bien-vivre » ensemble au travers des multiples usages/activités et enrayer la chute drastique de notre biodiversité. Tout cela en s’appuyant sur le cadre réglementaire et sur les forces vives de ces territoires qu’ils soient experts scientifiques, partenaires techniques, acteurs socio-professionnels, services de l’Etat, élus ou simples usagers.

Ainsi et pour commencer 2022 avec bonne humeur, nous vous partageons en images quelques moments marquants de l’année écoulée…

Nous vous souhaitons de tout cœur une bonne santé et de réaliser vos projets avec sens et convictions.

«Toute protection de la vie sauvage est vouée à l’échec, car pour chérir, nous avons besoin de voir et de caresser, et quand suffisamment de gens ont vu et caressé, il ne reste plus rien à chérir. (…) Nous abusons de la terre parce que nous la considérons comme une commodité qui nous appartient. Si nous la considérons au contraire comme une communauté à laquelle nous appartenons, nous pouvons commencer à l’utiliser avec amour et respect. Il n’y a pas d’autre moyen si nous voulons que la terre survive à l’impact de l’humain mécanisé, et si nous voulons engranger la moisson esthétique qu’elle est capable d’offrir à la culture. » Aldo Leopold; Almanach d’un comté des sables